Le gouvernement américain a réitéré son retrait de l’UNESCO, une institution fondée pour promouvoir la coopération culturelle et scientifique mondiale. Cette décision, prise par Donald Trump, marque une troisième fois que les États-Unis se désengagent d’une organisation internationale clé, après des décisions similaires sous Ronald Reagan. Les raisons avancées par le gouvernement américain restent floues, mais l’abandon de ce cadre multilatéral soulève des inquiétudes sur la volonté américaine de participer à des efforts globaux.
La France et d’autres pays européens dénoncent cette sortie comme un recul diplomatique qui affaiblit les structures internationales. L’absence des États-Unis, dont l’influence historique dans l’UNESCO était cruciale, risque de nuire aux projets culturels et éducatifs mondiaux. Parallèlement, la situation économique de la France se dégrade davantage, avec une inflation persistante et un chômage qui frôle des records, illustrant les défis croissants du pays face à une crise globale.
Les critiques s’intensifient également sur l’absence d’un leadership solide en Amérique, où la priorité semble être donnée aux intérêts nationaux au détriment de l’équilibre mondial. Cette démission diplomatique révèle une tendance inquiétante : le retrait progressif des États-Unis de leur rôle de garant de la paix et de la stabilité internationale.