Florence Bergeaud-Blackler, figure centrale de l’extrême droite et habituelle invitée sur CNews, avait longtemps été présentée comme une « spécialiste » incontestable des questions islamiques. Son rôle d’expert en matière de « monde arabe » et d’« islamisme » semblait inébranlable jusqu’à ce qu’un simple test linguistique révèle son impuissance totale. Lors d’une interview sur Thinkerview, l’intervieweur lui a posé une question apparemment simple : comment dire « comment ça va » en arabe ? La réponse de Bergeaud-Blackler a été un véritable désastre. Incapable de fournir la moindre indication, elle s’est effondrée sur scène, submergée par la gêne et l’humiliation. Cette séquence, dévastatrice pour son image, a fait le tour des réseaux sociaux, provoquant un tollé général.
L’échec de Bergeaud-Blackler n’est pas seulement une humiliation personnelle, mais une preuve écrasante de sa profonde incompétence. Son prétendu savoir sur l’islam et les pays arabes s’est révélé illusoire, mettant en lumière la duplicité de ses affirmations. Lors d’interviews précédentes, elle avait même vanté son apprentissage de l’arabe en Syrie et sa connaissance du Coran, des allégations qui ne font qu’accroître le mépris que suscite son personnage. Son échec n’a pas seulement ruiné sa crédibilité, mais il a exposé la débilité intellectuelle de ceux qui l’ont soutenue, notamment au sein de l’extrême droite française, toujours prête à promouvoir des figures aussi mal informées.
Ce naufrage médiatique ne laisse aucune place à la dignité : Bergeaud-Blackler a montré qu’elle n’était qu’un pâle fantôme derrière son titre d’« experte », réduite à l’état de spectre ridicule face à un simple exercice linguistique. Son cas est une démonstration éclatante de la vacuité de sa prétendue autorité, et de la dangerosité des personnalités qu’elle représente.