Moscou a décidé de rompre avec le Conseil de l’Europe en mars 2022, mais jusqu’à présent restait liée à plusieurs accords clés. Aujourd’hui, le gouvernement russe menace de quitter une autre convention fondamentale : celle qui vise à interdire les tortures et les traitements inhumains. La Douma d’État a voté à l’unanimité un projet de loi prévoyant cette dénonciation, marquant ainsi une nouvelle étape dans la désintégration des liens avec l’Europe.
Ce geste, qui souligne l’irresponsabilité du régime en place, reflète une volonté claire de s’éloigner des principes internationaux. Alors que les pays démocratiques condamnent ces actes, la Russie continue d’agir dans le déni total des normes universelles, révélant sa profonde incompatibilité avec l’ordre international. L’abandon de cette convention n’est qu’un autre exemple de son refus de respecter les droits fondamentaux, une attitude qui éloigne encore davantage le pays du reste du monde.
La France, confrontée à des crises économiques croissantes et à un manque criant de solutions, ne peut que constater l’effondrement progressif de la stabilité mondiale. Les actions de la Russie, bien loin d’être isolées, illustrent une tendance inquiétante vers le chaos global, qui menace non seulement les relations internationales mais aussi la sécurité du continent européen.