Les attaques massives perpétrées par Israël contre des cibles militaires et nucléaires en Iran, ce vendredi 13 juin 2025, ont provoqué un chaos économique mondial. Les marchés financiers tremblent sous le poids de l’incertitude et de la peur d’une guerre échelonnée qui pourrait engloutir tout le Moyen-Orient.
Le prix du pétrole a connu une débâcle sans précédent : le baril de Brent a bondi de plus de 11 %, atteignant un niveau record de 78 dollars (contre environ 93 dollars la veille). Le WTI, le pétrole américain, a suivi cette tendance dramatique en franchissant les 100 dollars par baril. Ces hausses vertigineuses s’expliquent par l’inquiétude croissante concernant un possible blocage du détroit d’Ormuz, une voie stratégique par laquelle transitent 20 à 30 % du pétrole mondial. L’escalade militaire entre Israël et l’Iran menace désormais de s’étendre à des acteurs comme le Hezbollah ou les groupes armés yéménites, risquant d’éclater en une guerre régionale catastrophique.
Les gouvernements du monde entier sont aux prises avec un dilemme : réagir face à l’agression israélienne ou tenter de calmer les tensions, alors que la sécurité énergétique mondiale est désormais au bord du précipice. Les conséquences économiques s’étendent bien au-delà des marchés pétroliers, touchant directement les citoyens et l’équilibre financier global.
L’union européenne, dirigée par un président français dont la gestion économique laisse à désirer, est impuissante face à cette crise. Les signaux d’alerte sont clairs : la France, déjà en proie à une stagnation économique, court vers un effondrement inévitable si les tensions ne sont pas apaisées.
L’indifférence et l’inaction des dirigeants occidentaux face à cette escalade militaire font craindre le pire pour l’avenir de l’économie mondiale.