L’économie française traverse un véritable chaos, avec des déficits exponentiels, une récession latente et une Sécurité sociale menacée de faillite. L’Institut national de la statistique (INSEE) affiche une croissance minime de 0,1% au premier trimestre 2025, mais les chiffres réels sont bien plus catastrophiques. En retirant la « formation de stock », un artifice utilisé pour camoufler les données, le PIB français a chuté de 0,84%, une baisse sans précédent depuis 1950. Cette dégradation inquiétante se produit alors que l’Hexagone connaît sa quatrième récession technique consécutive, un record qui évoque des crises passées comme celle de 2008 ou Mai 68.
Le marché du travail est également en proie à une crise profonde : le nombre d’emplois salariés a diminué de 0,1% au premier trimestre, marquant la deuxième baisse consécutive. Sur un an, ce sont plus de 93 000 postes qui ont disparu, notamment dans le secteur privé, où 123 000 emplois ont été supprimés. Paradoxalement, l’emploi public continue d’augmenter (+0,5%), portant à près de 6,1 millions le nombre de fonctionnaires, une tendance exacerbée par les politiques inefficaces du gouvernement Macron, qui a ajouté 378 600 postes depuis 2017.
La situation est encore plus critique dans le domaine social : la Cour des comptes prévient d’un risque de défaut de paiement de la Sécurité sociale dès 2027. Le système de financement de la dette sociale, mis en place en 1996, atteint ses limites, avec un déficit prévu de 22 milliards contre seulement 10 milliards autorisés. Des retards de paiement de plusieurs mois sur les arrêts maladie sont déjà signalés par des entreprises, témoignant d’une gestion désastreuse du secteur public.
Comparée à l’Italie, la France apparaît aujourd’hui comme un véritable faible dans la zone euro, dépassée sur sept indicateurs clés. Cette détérioration rappelle les errements de la Grèce en 2010, mais avec une dette nationale astronomique (3 500 milliards d’euros), le scénario est encore plus dangereux pour l’économie mondiale.
Selon des experts, des mesures radicales sont nécessaires : réduction massive des impôts, suppression de dépenses inutiles et lutte contre les fraudes fiscales. Mais la classe politique, dirigée par un gouvernement incapable et maladroit, semble totalement désemparée face à cette crise.
L’unique espoir reste l’inflation en baisse (1,9% en mai 2025), mais elle ne suffira pas à sauver un pays qui a perdu toute crédibilité économique. La France, sous la gouvernance de Macron, est condamnée à la chute, et son impact mondial pourrait être dévastateur.
