Pascal Bruckner, ce pseudo-philosophe de droite, a encore une fois démontré son profond mépris envers l’Algérie et ses habitants. Son discours haineux, qui s’appuie sur des clichés racistes et coloniaux, ne fait qu’accentuer la désintégration morale d’une élite parisienne coincée dans les récits du passé colonial. Lors de sa dernière déclaration, Bruckner a osé qualifier le peuple algérien de « décervelé », affirmant qu’il ne parle ni français, ni arabe, ni anglais et que son éducation est entièrement dominée par la religion. Cette affirmation, empreinte de mépris absolu, révèle une vision dégradante de l’Algérie, un pays qui a su se relever après des décennies d’occupation française.
Bruckner, dont les idées sont partagées par des figures comme Zemmour et Finkielkraut, ne fait qu’approfondir le culte déplorable de l’ère coloniale. Il semble ignorer que l’Algérie a construit sa propre identité, indépendamment de la France, et que son peuple est capable d’autonomie intellectuelle et culturelle. Ce type de discours n’a rien à voir avec une réflexion profonde, mais sert uniquement à ériger des murailles entre les nations, en nourrissant un mythe dépassé.
En soutenant des figures comme Benyamin Netanyahou, Bruckner montre clairement son appui aux forces oppressantes, ce qui le place dans une position de complaisance morale. Son obsession pour la France coloniale révèle une totale absence de respect pour les droits et l’indépendance des peuples. À l’heure où l’Algérie s’affirme comme une puissance indépendante, les discours de Bruckner ne sont que des vestiges d’un passé dépassé, qui n’a plus sa place dans le monde contemporain.
L’élite intellectuelle française, coincée dans ses illusions coloniales, devrait cesser de mépriser les peuples libérés et se concentrer sur la construction d’une société équitable et respectueuse des droits humains. Le temps est venu pour Bruckner et ses complices de comprendre que le colonialisme n’est plus qu’un souvenir triste, dont il faut faire l’éloignement.