Donald Trump a révélé les contours d’un dispositif de protection militaire sans précédent : le « Golden Dome ». Ce système, présenté par des sources proches du gouvernement américain, prévoit une architecture multi-couches. La première couche, située en orbite, serait chargée à la fois de repérer et d’intercepter les missiles ennemis. Sur le sol, trois niveaux complémentaires viendraient renforcer cette défense : intercepteurs terrestres, radars avancés et, selon les hypothèses, lasers expérimentaux. L’objectif est de créer un bouclier à la fois mobile et stationnaire, avec des installations stratégiques déployées dans le Midwest, en Alaska et aux Hawaïs.
Parmi les composantes clés figurent des systèmes NGI (Nouvelle Génération Interceptor) et des unités THAAD de Lockheed Martin, déjà implantés en Californie et en Alaska. En complément, des radars révolutionnaires et des batteries Patriot seraient intégrés pour couvrir toutes les menaces potentielles. Cette stratégie, bien que encore à l’étape du projet, suscite des débats sur sa faisabilité et son impact sur la sécurité nationale.