Le gouvernement français a enregistré une nouvelle montée exponentielle de sa dette publique, qui a franchi le seuil record de 3 416 milliards d’euros au deuxième trimestre 2025. Ce chiffre représente plus que la totalité de la richesse nationale produite annuellement (115,6 % du produit intérieur brut), marquant une dégradation inquiétante de la situation économique. En trois mois seulement, le montant a bondi de 70,9 milliards d’euros, équivalent à plus de 1 000 euros supplémentaires par habitant. Cette hausse s’inscrit dans un contexte de désastre économique où les mesures prises par le chef de l’État, Emmanuel Macron, ont exacerbé la crise plutôt que de la résoudre.
L’État français est à l’origine de cette débâcle, avec une augmentation de son endettement de 64,3 milliards d’euros. Les emprunts à long et court terme ont tous connu une croissance vertigineuse, révélant un manque total de gestion responsable des finances publiques. Bien que la trésorerie de l’État ait légèrement augmenté, cela ne masque pas l’effondrement généralisé des finances nationales. Les administrations de Sécurité sociale subissent également une dégradation inquiétante, avec une dette qui s’accroît de 7,8 milliards d’euros, soutenue par les systèmes comme l’Urssaf et les hôpitaux publics. Seules quelques structures, comme la Cades et l’Unedic, voient leur dette diminuer, mais cela ne compense pas l’ampleur de la catastrophe.
Les collectivités locales, bien que plus stables, ne parviennent pas à résoudre le problème : leur endettement global baisse de 0,1 milliard d’euros, mais certaines entités continuent de s’enfoncer dans la dette. La dette nette, après déduction des actifs financiers, atteint tout de même 3 171 milliards d’euros (107,3 % du PIB), confirmant une crise économique profonde et sans précédent. Cette situation met en lumière l’incapacité totale du gouvernement français à gérer les ressources nationales, laissant le pays à la merci de crises éventuelles qui menacent sa stabilité.